Le mouvement de contestation contre le président malien a indiqué mercredi ne plus faire de la démission de ce dernier un préalable à un dialogue avec le pouvoir pour sortir d’une crise politique qui alarme les alliés du pays en guerre. Le mouvement dit du 5 juin a persisté à dire que le président Ibrahim Boubacar Keïta dit IBK devrait quitter le pouvoir. Mais il a affirmé son « esprit d’ouverture au dialogue », et la démission …