Que de brouhaha, que de vacarme, que de cris d’orfraie, autour de la signature que je viens d’apposer sur l’acte fondateur du Front Commun pour le Congo (F.C.C., en sigle) ! Dans l’ordre des signatures, je suis le numéro 100, sur une longue liste de quelques centaines de personnes, de « partis », associations et divers « mouvements ». Les comptes rendus de la presse kinoise me mettent systématiquement en n°1, devant les ténors et …